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Durant la Révolution Française, le mot Terreur est employé pour désigner la doctrine des partisans de la Terreur (1794). Ainsi, de la terreur au terrorisme, il y en amplification du mouvement pour atteindre la manipulation mentale d'une population.

Nous avons l'habitude d'employer le terme pour des attentats, des assassinats d'un groupe haineux, contre Al Quaeda par exemple.

Cependant, pourrions-nous l'utiliser de nos jours, en France à un moindre degré ? Ou l'abandonner pour le mot "pollution" ?

Suite au mouvement de cabale provenant d'une classe d'élites contre une autorité, posons-nous la question de savoir si cette manipulation de la population s'intégrerait dans la définition d'un terrorisme mental.

En effet, par le biais de supports médiatiques, une forme de complot, nous pouvons aujourd'hui l'appeler comme tel, par un groupe de personnes unies vise à la destabilisation du pouvoir en place mais dans quel but ?

Cette conspiration pour le succès de leurs opinions, de leurs prétentions a pris forme de manière latent pour s'amplifier par la publication d'un torchon, devenu, le comble de la bêtise, un succès "littéraire".

Ce mouvement a-t-il pour ambition de servir la nation ? Dans le positif par quel biais ? La vente de la vie privée d'autrui ? Quelle culture !

L'utilisation de la violence des mots par le biais des médias pour recueillir les lauriers de la bêtise destabilise la population. Rappelons-nous que cette violence verbale a commencé en 2012 pour la partie visible. Je vous laisse le soin de consulter votre mémoire.

Aujourd'hui, la population est de plus en plus divisée, le voisin est le mal de l'autre. L'auteur de ce mal être, qui a pris le nom de crise pour éviter ainsi de nommer un coupable, est libre d'agir à sa guise pendant que la masse populaire s'entretue. Est-ce normal de lire : si mon "voisin" est pauvre, c'est qu'il ne fait pas d'effort. Les chômeurs ne font rien pour trouver du travail.... Mais qui aimerait prolonger la queue des resto du coeur, dormir sous les abris de bus, ne pouvoir se vêtir ? D'ailleurs à ce propos, une idée : pour leur apparition, des personnes perçoivent une prime pour s'habiller et ainsi donner une image de "bonne présentation". Il serait intéressant de l'étendre aux "chercheurs" d'emploi afin qu'ils puissent se présenter sous leur plus beaux atouts et en confiance (à défaut d'argent, un bon d'achat pourrait faire l'affaire).

Il serait temps, d'ouvrir les yeux : quel est le but de la zizanie entretenue (soyons précis amplifiée) depuis 2012 ? A l'époque des élections présentielles, les licenciements ont été gelés. "Gelés" ne veut pas dire stopper ! Par conséquent, le flux qui atteint aujourd'hui la France était prévisible à ce moment là, mais en attente.

Par ailleurs, la remise en cause des acquis sociaux plane sur le pays depuis les années. Rappelons que les acquis sociaux sont issus des travailleurs qui obtiennent, en échange de leurs cotisations, des aides pour subvenir à leur maladie, leur retraite. Ces droits collectifs tombent peu à peu dans l'individuel ce qui est contraire à son objectif. Des salariés, cotisants, peuvent-ils attendre des aides pour une paire de lunettes, le remplacement d'une dent absente ? D'où la compréhension d'une colère envers l'autre qui bénéficie du système et qui, pour certains, en profite. Mais qui crée cette situation ? Qui la veut ? Le licenciement, l'absence de travail créent un manque de cotisants et une surabondance de personnes à assister. 

Pendant ce temps, quand la classe populaire se dispute, la classe élitiste se frotte les mains. La voie est libre, assouvissons davantage. 

Cette pollution auditive et visuelle est-elle le résultat d'une deux ans d'une politique ? La crise, le chômage existaient déjà bien avant. Ce terrorisme mental à qui sert-il ?

Tag(s) : #Société
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